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Réponses au sondage pour l'AG du 21.10.22

Dernière mise à jour : 19 oct. 2022


PCO : Préambule

Avant toute réponse à ces questions, je voudrai préciser ma vision personnelle du CDT.

Le CDT présente la particularité assez rare, je crois, d'avoir créé selon moi une forme d'esprit de corps.

Il y a plusieurs motifs à cette situation dont la modalité par laquelle on devient membre du CDT qui, à mon humble avis, est cruciale. L’autre modalité provient selon moi du fait que le Club place l’individu, membre du club, au cœur de son attention.

Et sur ce dernier point, les ressorts par lequel cette alchimie a été rendu possible ne sont pas, selon moi, toujours, tout à fait du au CDT lui-même.

Le CDT n’est pas un cercle de directeur technique mais il n’est pas non plus un corps de directeur technique (j’ai bien parlé de « forme de »).

Mais c’est bien cette question qui est au cœur de la crise de la trentaine que connait l’association.


SP : Préambule :

Je pense que notre Club est plus qu’un Club traditionnel. Plus le temps passe, plus il devient comme une seconde famille, qui nous permet de trouver du réconfort ainsi que des conseils, dans les moments difficiles que nous avons tous connus dans notre parcours professionnel.

Après, on dit que le Club est en crise. Mais l’est-il vraiment ? Ne serait-ce pas, certains membres qui subissent un stress exceptionnel, face à toutes les évolutions de leur profession, il y a d’abord eu le covid, ensuite la crise des matières premières et maintenant la crise énergétique, qui voudraient naturellement que le CDT leur apporte des réponses sur l’avenir de leur métier.

Malheureusement, le CDT n’est pas une machine qui fonctionne toute seule.

Et ce n’est pas en modifiant ses statuts qu’il saura instantanément répondre au besoin de ses membres, ce serait trop beau.

Arrêtons de nous flageller, ce Club tel qu’il est, a tout pour bien fonctionner de part ses statuts et la qualité de ses membres.

Cependant, il ne peut fonctionner que par l’engagement de chacun.

Si des membres ont des sujets qui leur tiennent à cœur, et je suis persuadé qu’il y en a beaucoup, il faut qu’ils les expriment et des débats seront organisés soit lors du repas mensuel soit lors de réunions en soirée.

Et là nous touchons la quintessence de notre Club.

Et je partage aussi, l’idée d’inviter à nos futurs débats des personnes extérieures au Club

  1. Que pouvez-vous apporter au Club ?

PR : 23 ans d’ancienneté au CDT– plutôt bonne assiduité (sauf depuis un an) – 6 mandats de trésorier – 2 mandats de président – MO( SIER ) représentatif de la profession ( 300 logements par an ) siège à LYON, DT de la SIER depuis 1990 .Président de la Commission Nationale Construction de la FPI depuis 2016 .

PDU : Mon expérience de plus de 20 ans en entreprise générale et de presque 17 ans en tant que directeur technique chez SLC. Une petite centaine d’opération de 11 à 400 logements.

AT : Je me place dans le présent et le futur. Je pense avoir une vision lucide de la vie du Club, basée sur le vécu depuis l’origine. Néanmoins il faut évoluer tout en conservant l’ADN. J’aurai donc une vision constructive et attentive de ce qui doit se passer.

FV : Je peux apporter au club ma modeste expérience de 35 ans dans la promotion immobilière.

PCO : Je pense que le premier des apports au club est une attention particulière. Personnellement, bien que la période soit complexe, je me suis engagé à poursuivre la démarche de la COCOTTE et je m’y tiendrai.

PCH : mon expérience en promotion, et dont 15 ans en tant que DT chez Marignan

PDK : Connaissance du club et de ses fondements, animation et implication active comme déjà démontré, disponibilité à venir qui peut être mise à profit. Connaissance du métier.

EJO : j’ai été honoré d’avoir été parrainé et pense que mon implication rapide me donne une vision large des tâches à accomplir pour qu’un club de cette taille puisse évoluer : ce club est un club, pas une fédération ni même une société avec des salariés, il faut tenir compte de cela pour faire vivre un club.

AP : Mon expérience et mes expériences aussi bien techniques que managériales.

EGA : 32 ans d’expérience dans le métier de construire. Un engagement en tant que secrétaire depuis 3 mandats

OB : Un lieu d’échange et de partage d’informations sur les évolutions techniques de manière à faire part de nos diverses expériences

PBO : Comme tous, mon expérience, mes contacts, mon réseau, je fais ce métier depuis 35 ans….

Mon envie de partager, d’échanger

Mon retour direct terrain puisque je suis en permanence avec le chantier


MGC : Des solutions techniques et expériences de projets réalisés et en cours d’étude

Des échanges entre membres pour résoudre des problématiques


VDA : Dynamisme / Attrait sur les nouveautés techniques


JDA : Du temps et de l’appui pour impulser une dynamique

Ex : comme ce que j’apporte à l’équipe « Cocote »

Mais, comme je le disais en Juillet : je ne souhaite pas faire partie du bureau… Je ne suis pas assez ancien et je ne me sens pas légitime, et surtout, je n’aurai pas le temps (j’ai déjà la présidence d’une association d’établissement scolaire)

  1. Qu'attendez-vous du Club ?

PR : Ce pour quoi il a été créé et qui comprend principalement : l’échange d’informations professionnelles de tous ordres sur le métier de maître d’ouvrage, la solidarité et l’entraide entre membres, dans une atmosphère de respect, d’amitié professionnelle et de convivialité, le tout sans langue de bois.

Le Club doit se recentrer sur ses activités principales : repas mensuels, contacts avec les fournisseurs, cocotte, visites de chantier, un séminaire annuel à inventer pour remplacer le voyage, réunions plénières. Un membre du Club doit pouvoir concilier sa participation active au Club et son activité professionnelle.

PDU : Un club de partage amical mais aussi professionnel et un club de technicien. Il faut sortir l’aspect professionnel des repas ou juste de l’information sur les visites et sorties.

Mettre en place des réunions trimestrielles professionnelles avec un ordre du jour : A ne réserver qu’aux gens motivés : ce serait le rdv technique du Club.

Un apport technique et partagé sur les nouveaux enjeux

AT : Faire en sorte que les membres y trouvent une écoute, un partage, un approfondissement sur des sujets qu’ils n’ont pas le temps ou la possibilité d’aborder au quotidien.

FV : Un échange avec mes confrères dont un certain nombre sont devenus des amis

PCO : Le CDT doit assumer sa vocation de corps des DT. Il doit être un lien intergénérationnel centré autour de la problématique technique de l’acte de construire et qui s’attache à créer un lien tenu et particulier et sans cesse renouvelé entre les individus.

Pour cela, le club doit :

1. Disposer d’un rendez-vous régulier comme le repas au rythme existant à ce jour (tout ne doit pas être remis en cause au CDT)

2. Présenter des occasions techniques (partage techniques et visite de chantier à définir : chacun, en activité, devrait à minima s’astreindre à proposer une visite de ses chantiers)

3. Contenir obligatoirement des moments de convivialité que le CDT doit être capable d’organiser seul et sans intervention de mécènes et auquel les membres souscrivent. Je rappelle que chaque membre du CDT a été capable 1 fois par an de prendre 2 jours de congés et dépenser 400 €uros pendant des années pour passer du temps ensemble. Avec 500 €uros, on fait une nuit d’hôtel, un bon repas, 2 activités (la veille, le lendemain) … Mais il faut le vouloir.

Mais ce n’est pas tout. Le Club ne doit pas être une citadelle. Il doit permettre de sortir du schéma relationnel du maitre d’ouvrage pour explorer des façons différentes de grandir dans l’acte de construire. En créant des échanges pour promouvoir d’autres façon de penser l’acte de construire, en cherchant plus systématiquement des partenariats avec des groupes qui nous tendent la main bien souvent et que nous négligeons (combien de mois aura-t-il fallu pour créer un échange avec le GIP réclamé par leur soin depuis de très nombreuses années).

PCH : l’échange et la solidarité entre membre participant à l’acte de construire dans un cadre professionnel et amical. Élément indispensable dans le contexte actuel où nos modes constructifs sont pleins changement et évolution.

Ces échanges devant se faire dans un cadre professionnel et amical.


PDK : Un lieu d’échange convivial permettant les échanges sur les solutions nouvelles et les orientations possibles de réflexion. Une bonne connaissance des interlocuteurs que nous pouvons rencontrer dans nos activités. Un endroit où partager les difficultés et états d’âme juste pour souffler.

EJO : Partage d’informations techniques & réglementaires, permettre de développer un relationnel et transmettre une relation intergénérationnelle

AP : Les mêmes choses que par le passé de la convivialité des échanges et de l’amitié.

EGA : 32 ans d’expérience dans le métier de construire. Un engagement en tant que secrétaire depuis 3 mandats

OB : Comme l‘a précisé Eric nous sommes à la croisée des chemins. Nous devrions accélérer les parrainages pour l‘arrivée de nouveaux membres plus jeunes et être plus souples dans leur intégration. Je pense que la proposition de proposer un poste de vice-président est intéressante avec un profil différent et complémentaire du président

PBO : : La même chose en mieux, je ne suis plus Maitre d’Ouvrage depuis 8 ans, je ne suis plus en lien avec les veilles réglementaires ou juridiques.

La continuité d’une relation amicale, car j’ai rencontré des gens que je ne connaissais pas et que j’apprécie et que j’ai plaisir à retrouver.

Un échange transparent sur les problématiques quotidiennes (inflation, qualité entreprise, nouvelles techniques…)


MGC : Des échanges techniques dans des moments spécifiques : temps réservé en fin de journée

Pendant lequel on peut approfondir les sujets et partager les expériences avec des intervenants externes : fournisseur, bureau de contrôle, BET, société avec sujet spécifique

VDA : contact avec les fournisseurs et entreprises / expertises sur solutions techniques et juridiques

JDA : De l’échanges sur des retours d’expérience, des échanges d’informations (ex : sur Signal) sur des problématiques

Un accès facilité aux industriels



3. Quel est votre avis sur l'évolution du Club ?

PR : Point positif : l’entrée de nouveaux membres.

PDU : OK

PR : Points négatifs : principalement : perte des valeurs ci-dessus, manque de représentativité de la profession, perte de prestige, pas capable de s’adapter aux nouveaux enjeux de la profession, absence d’intégration des nouveaux membres, inertie de certains membres les plus anciens ??, absence de communication sur le fonctionnement du Club, règlement et statuts pas respectés.

PDU : Il faut recréer une dynamique perdue lors du Covid et ne conservait que les gens motivés et prêts à s’investir. Chaque membre devrait selon moi devrait être dans une commission au moins 1 année sur 2.

Il faut communiquer sur cette nouvelle dynamique : l’image venant de l’extérieur est un club fermé sur lui-même et vieillissant : il faut changer cela.

AT : La perte des valeurs qui s’est diluée par lassitude, circonstances, départs en retraite en cours ou déjà passés (donc représentativité par rapport à l’extérieur), manque de réflexion aussi : une routine s’est installée. Un électro choc est nécessaire.

Pourquoi tolérer dans le Club ce qui ne l’est pas au quotidien dans nos métiers : l’absentéisme, le manque d’implication.

Ajoutons à cela la parenthèse COVID de 2020,2021 qui nous a éloignés physiquement les uns des autres et amené une appréhension plus distendue des rapports humains.

FV : Il faut que le CLUB se rajeunisse et qu’il s’adapte à l’évolution de la société et du microcosme qui est le nôtre, sinon il est amené à disparaitre.

PCO : Tout dépend l’issue des débats que nous avons devant nous.

PCH : le Club est condamné à évoluer tout en conservant son ADN et ses valeurs.

Il est nécessaire que sa taille soit maîtrisée et retrouve une dynamique.


PDK : Croissance raisonnée et composition de membres sincères et fiables. Le nombre demande une organisation interne qui évolue également.

EJO : le club ne fonctionne pas à plein régime. Il me semble que seul un petit groupe semble y trouver un intérêt. Un groupe de 30 membres est très difficile à gérer, je partirai sur une équipe + restreinte

AP : Rien de bien nouveau, toujours des gens qui ne participent à rien, des gens qui parlent pendant que les intervenants parlent.

Contrairement à certains je ne trouve pas que la situation se dégrade plus qu’avant, c’est une évolution comportementale constatée dans la société actuelle.

EGA : Le club change par le nombre de ses adhérents, il doit s’ouvrir sur de nouveaux membres.

OB : Non mais de plus en plus de questionnements sur l’évolution du club

PBO : Je pense que l’on arrive à moment critique,

Le club vieilli sous 3 ans départs à la retraite de 6 membres et sous 6 ans 10 membres, des mouvements MOA/MOE, et un élargissement du nombre de promoteurs sur LYON.

Il est vrai que depuis quelques mois, le sujet récurent de nos réunions est l’avenir du club,

Il est vrai que ces 2 dernières années ont été difficiles, mais il faut arrêter de douter.

Le site le prouve, quelle belle évolution en 25 ans, maintenant il faut ubériser le club et s’ouvrir sur la jeunesse et sur les autres métiers…

MGC : Devient scolaire : Dupont n’est pas venu …. On parle plus de l’organisation du club que des échanges techniques ou personnels. Le repas est à mon avis un moment convivial ou on évoque des thèmes à aborder pour un prochain rdv technique et des échanges, mais pas une semi-réunion ni technique ni conviviale

VDA : club qui doit s’ouvrir plus vers l’extérieur pour être attrayant et ainsi être plus dynamique


JDA : Pas d’avis avant la prochaine AG

  1. Ressentez-vous une baisse de mobilisation ?

PR : Oui globalement, y compris des derniers arrivés, ce qui est préoccupant.

PDU : Oui cela se ressent et devient même contagieux

AT : La baisse de mobilisation provient de plusieurs facteurs recensés au § 3 ci-dessus.

FV : Oui mais elle s’explique par l’activité qui se complique et qui nous laisse moins de temps pour des activités qui n’apparaissent pas comme indispensables.

PCO : Oui. Bien sûr. A commencer par la mienne ! Il y a bien sur les années que nous traversons (COVID, et 2021-22), mais il y a aussi et surtout une évolution naturelle d’une association qui à un moment doit régler les questions qui remettent en cause sa logique même.

On ne peut avoir dans ses statuts une définition aussi claire et exigeante de comment on entre dans le club et ne pas avoir le même niveau d’exigence pour toute la vie du membre derrière.

Enfin, clairement, j’ai ressenti pour la première fois l’année, que n’avions pas tous la même conviction vis-à-vis du CDT. Et j’ai entrevue une vision qui n’est pas du tout la mienne et qui aurait pu me faire renoncer à devenir membre de cette association.

PCH : Oui. Le Covid n’est pas étranger à cette démobilisation, on le constate également dans notre quotidien. Néanmoins les statuts sont clairs sur l’assiduité, mais peu appliqués.


PDK : Un peu. Les deux ans entrecoupés de confinements et les difficultés du redémarrage en fanfare de l’activité y sont certainement pour quelque chose. Toujours une partie qui veut faire bouger et vivre le club, l’autre partie suiveuse comme dans tous les groupes.

EJO : complètement. Le COVID, la charge de travail supérieure et/ou différente, le CDI sans le voyage nous ont amené à un repli sur nous-même et une difficulté à nous régénérer

AP : Pas plus que ça, les chiffres sont là pour étayer ma réponse, le secrétaire pourra nous confirmer cet état.

EGA : Oui, comme dans toute association, il y a ceux qui y croient à fond, qui se mobilisent et ceux qui se laissent vivre

OB : Non mais de plus en plus de questionnements sur l’évolution du club

PBO : Je ne trouve pas qu’il y est une baisse de motivation mais une certaine morosité qui est peut être le reflet de ce que nous traversons ou vivons au quotidien

Par contre, le Club a bien évolué ces dernières années, la cocotte en est le bon exemple tout comme les réunions techniques spécifiques.

Je pense que le COVID et l’annulation des moments festifs nous a manqué, notre métier est difficile et rire avec une bande de gens sympas cela fait le plus grand bien

MGC : Je pense que notre métier est devenu encore plus complexe et l’agenda encore plus chargé

Pas évident de se libérer pour chaque rendez-vous, vu le nombre de membre cela n’est pas un vrai problème

Il y a eu une perte d’ambiance il me semble : chaque membre en activité ou non fait partie du club en plaise aux fournisseurs ou non. L’ambiance ……. valeur primordiale qui je pense a fait l’âme de ce club

VDA : difficile de donner mon opinion au vu du peu de recul, mais le club semble se laisser porter.

JDA : Je n’ai pas connu avant, donc difficile à dire : mais je sens bien qu’on est dans une phase de transition avec l’arrivée de nouveaux, qui ne prônent pas tous ce qui a animé les fondateurs du club : vous l’avez répété : nous sommes un groupe de copains, avec le plaisir de se voir.

  1. Faut-il faire évoluer les déjeuners ?

PR : Oui absolument : déjà , changer de lieu ( LA LOZERE n’est pas un endroit digne du CDT ), augmenter la qualité des repas ( et donc le prix ) exiger une formule à deux entrées, deux plats et deux desserts au choix à préciser en début de repas (le secrétaire n’a pas vocation à prendre des menus ), changer le contenu qui doit être recentré sur la convivialité et les échanges spontanés ( 10 mn consacrées aux informations générales sur la vie du Club et ensuite liberté de parole ).Plan de table à instaurer ou déjeuner- buffet sur tables hautes pour permettre les échanges.

Afin d’augmenter les échanges entre tous les membres, qui sont l’essence même du Club, et compléter les éventuels échanges à l’occasion des repas, création d’une réunion du Club trimestrielle, le soir (18 h00- 19h30 par exemple), autour d’un verre ou d’un apéro dinatoire pour parler des activités du Club.

PDU : Format permettant d’accueillir plus de monde au sein du CdT, convivial essentiellement et pas technique.

Pourquoi pas buffet…..

Informatifs et calendrier : 10 mn maximum et le reste sera consultable sur le site : Ceux qui veulent avoir l’information lisent le CR et doivent aller sur le site

Respectueux par rapport à ceux qui parlent…on écoute et on s’écoute au moins pendant 10 mn.

AT : Prise des menus : j’espère que la nouvelle formule du site va soulager le secrétaire.

Lieu des repas : cela fait un moment que l’on se cherche. La Lozère est moyennement satisfaisant mais avoir une salle pour nous seuls est dix fois mieux qu’au Capot : critère n° 1.l fau

Plan de table : pourquoi pas. Qui va décider étant donné que les participants ne sont connus que deux jours à l’avance.

Déroulé des repas : être plus rigoureux : un temps pour partager les informations, un temps pour des échanges libres.

Les repas ne sont pas suffisants pour la vie du Club. Pourquoi on ne prend pas une heure en fin de repas à chaque trimestre ? : de 14 h à 15 heures.

FV : Oui c’est la routine qui a tendance à démobiliser (c’est pareil dans une entreprise ou dans un couple 😀)

PCO : Pas selon moi. Mais j’étais peu présent sur cette année 2022 et je ne peux être d’une analyse pertinente sur le manque de participation aux repas.

PCH : ils sont à faire évoluer, mais surtout à maintenir. Ils sont des moments d’échanges importants.

Le fait de moins se retrouver, ces derniers temps a sûrement eu pour effet de rendre les repas des moments de partage direct et moins structuré que précédemment. 2 temps importants sont à privilégier, la vie du club et les échanges en membres. Cela passe par la mobilisation de tous, au cours des repas, et de l’envie.


PDK : Trouver un lieu plus convivial et apaisant. Compléter le repas par un moment d’échange formel ou informel. Collectif ou en petit groupe. Cela sous-entend de prévoir de la disponibilité en plus du temps de repas. Rendez-vous systématique à conserver.

L’heure du repas permet au moins à chacun de trouver la dispo.

SP : Il faut d’abord se poser les bonnes questions avant de sélectionner un nouveau restaurant : à mon avis elles sont au nombre de quatre : bénéficier d’une salle qui nous est réservée uniquement pour nous, bien manger, être bien accueillis et avoir de la place pour se garer facilement et ne pas perdre de temps. Je pense que la Lozère, même s’il n’est pas luxueux coche beaucoup de cases.

EJO : la gestion des déjeuner est très lourde, si une évolution doit se faire il faut aller vers une simplification

AP : Toujours possible, mots du président, informations techniques si d’actualité et candidature déposée auprès du secrétaire avant la réunion, échanges libres.

EGA : Oui, il faut vraiment trouver un temps pour mobiliser l’attention de tout le groupe car c’est très difficile de parler de notre activité en mangeant.

Je plains notre président à chaque repas.

En même temps on est tous heureux de se retrouver et donc ça « tchatche » beaucoup,

De vraies pipelettes !

On pourrait consacrer un moment à l’actualité du club avant le déjeuner

Trouver un endroit plus convivial, moins de bruit, une salle pour nous seuls avec une vraie capacité d’accueil, peut être des tables rondes qui permettraient un meilleur échange qu’avec uniquement son voisin de gauche ou de droite…

OB : Oui comme évoqué hier il faut laisser aux repas un caractère convivial et amical sans ordre du jour particulier et réserver les autres sujets à des réunions bien spécifiques

FBO : La formule actuelle me convient,

Je viens pour retrouver des « confrères, des amis, les membres d’un club de passionnés pour partager et échanger sur tout mais avec une priorité sur notre métier.

Cependant je viens aussi pour me détendre et passer un moment sympa

Par contre, pour une vraie réunion technique ce n’est pas le bon endroit ni le bon moment (concentration, bruit etc…)

On peut se poser la question du lieu, hier je tournais le dos à 50% des membres du club, ce n’est pas top…

MGC : Les déjeuners sont des moments plaisants et sont à mon avis nécessaires. Ils étaient plus détendus il y a quelques temps

VDA : oui, le format repas ne permet pas d’échange sauf avec les voisins proches.

JDA : Oui : séparer le déjeuner de la partie échanges : trop contraignant pour celui qui anime la réunion. Oui, dans un lieu plus isolé.

6. Faut-il être plus 'actifs' dans la faible mobilisation récurrente de certains membres ?

PR : Oui. Le club doit se séparer de 8 à 10 membres, soit par démission volontaire, soit par radiation. Ces membres sont ceux qui sont peu assidus ou absents, ceux qui n’ont jamais organisé quoique ce soit pour le Club, ceux qui sont à la retraite ou en fin de carrière, ceux qui sont toujours en activité mais peu représentatifs de la profession.